Le Guerrier pacifique. Le livre qui change la vie. Dan Millman. Livre audio (2)
murale qui se trouvait près de sa tête
indiqué 3 degrés celsius
sans lever les yeux il dit d'une voix
forte presque musicale
désolé si je vous ai fait peur
or ce n'est pas grave avez-vous des
boissons gazeuses lignac de jeu deux
fois ici il se tourna vers moi et haute
à son bonnet avec une sorte de demi
sourire découvrant des cheveux blancs
puis il éclate adria
quel rire
des visages est encore un instant et
reconnu le vieil homme de mon rêve les
cheveux blancs la face lisse sans ride
un homme grand et mince de 50 ou 60 ans
il rita nouveau malgré ma confusion je
parvins à me diriger jusqu'à la porte
marqué bureau je l'ouvrier en même temps
je senti une autre porte s'ouvrir sur
une autre dimension
je m'effondrais tout frissonnant sur un
vieux canapé me demandant ce qui par
cette porte allez faire irruption dans
ma vie bien planifiée à ma peur se
joignent est une étrange fascination que
je ne m'explique est pas
assis respirant avec peine j'essayais de
reprendre pied dans le monde ordinaire
j'examinais le bureau il n'offrait pas
l'impression de stérilité de désordre
habituel à une station d'essence une
couverture mexicaine défraîchi mais
encore riche en couleurs
recouvrez le canapé sur lequel j'étais
assis
à ma gauche près de l'entrée il y avait
une caisse contenant bien ranger des
objets utiles pour les voyageurs carte
fusible lunettes de soleil etc
derrière un petit bureau en noyer se
trouvait un fauteuil capitonné en
velours sable
un robinet d'eau montaient la garde près
d'une porte marque et privés à côté de
moi une autre porte monnaie au garage
frappé par l'atmosphère accueillante de
la pièce
un épais tapis jaune vif s'étendait sur
toute sa longueur s'arrêtant juste avant
le paillasson de l'entrée
les murs avaient été récemment pas en
blanc et quelques tableaux de paysages
les égayer
douceur de l'éclairage ma pizza
il était reposant après les éclats
fluorescents de l'extérieur
chaleur harmonie et sécurité émaner de
cette pièce
comment aurais-je pu deviner les
aventures la magie la peur et la poésie
qui m'attendait en cet endroit
ma seule pensée à ce moment là fut
cheminée serait tout à fait à sa place
ici
mon souffle ne tarda pas se calmer et
mon esprit sans être satisfait c'est ça
du mois son agitation
la ressemblance de cet homme aux cheveux
blancs avec celui de mes rêves devait
être une coïncidence
je me levais en soupirant remonter à la
fermeture de ma veste est ressorti dans
le froid
l'homme était là il n'avait pas bouger
en passant devant lui jetait la dérober
un dernier coup d'oeil à son visage est
une lueur dans son regard me retins
n'avais encore jamais vu de tels lieux
il semblait d'abord pleins de larmes sur
le point de couler puis ses larmes se
transformait en un sentiment comme si le
ciel étoilé si reflétait
je me plongeais de plus en plus
profondément jusqu'à ce que les étoiles
elle même ne fusse plus qu'un reflet de
ses yeux
pourtant un moment j'oubliais tout ne
voyons plus que ses yeux les yeux fixés
curieux d'un enfant
de temps je restais ainsi quelques
secondes quelques minutes peut-être plus
ce moment je suis à nouveau je me
trouvais jeu marc monnet
bonne nuit
et déconcerté
que le coin de la rue
sur le trottoir je m'arrêtais
chatouillé je sentais qu il m'observait
je me retournais il ne s'était pas
écoulé plus de 15 secondes depuis mon
départ
or je le vis soudain debout sur le toit
les bras croisés observant le ciel et
ses étoiles
je considérais bouche bée la chaise vide
toujours appuyé contre le mur puis je
levais à nouveau les yeux c'était
impossible
je n'aurais pas été plus abasourdi si je
l'avais vu changer la roue d'un potiron
géant transformer en carrosse est tirée
par des normes souris
dans la paix de la nuit je considérais
sa silhouette svelte elle en impose et
même à distance
j'entendis les étoiles carillonner comme
des cloches dans le vent
tout à coup il tourna brusquement la
tête et me regarda droit dans les yeux
il se trouvait bien à 20 mètres de moi
et je sentais pourtant son souffle sur
mon visage
je frissonnais mais pas de froid
porte celle par laquelle la réalité se
font dans les rêves s'ouvrir à nouveau
delom
oui dit il puis je vous aider
rôle prophétique
excusez moi mais
vous êtes excusés fit il en souriant je
rougis cette histoire commençait à
m'agacer il jouait avec moi un jeu dont
je ne connaissais pas les règles bon
comment êtes-vous montés sur le toit
sur le toit demanda-t-il d'un air
innocent est étonné oui comment avez
vous fait pour passer de cette chaise au
toit en moins de 20 secondes vous étiez
adossé au mur juste là je me suis
retourné j'ai marché jusqu'au coin et
vous que c'est exactement ce que j'ai
fait tourner à sa voix inutile de me
raconter mais voilà la question savez
vous ce que vous faisiez bien sûr je le
sais je m'énervais je n'étais pas un
enfant pour recevoir ainsi des leçons
mais comme je tenais absolument à
connaître l'astuce de ce vieil homme je
me calme est demandé poliment
s'il vous plaît monsieur dites moi
comment vous êtes monté sur ce toit
il se contenta de me regarder dans les
yeux en silence jusqu'à ce que j'ai des
fourmis dans le coup
finalement il me répondit
j'ai utilisé une échelle elle se trouve
derrière
puis mme ignorants il regarde à nouveau
le ciel
je passais rapidement derrière en effet
il y avait une vieille échelle appuyé
misérablement contre le mur mais il
restait au moins 1 mètre 50 entre le
haut de l'échelle et le bord du toit
même s'il avait pu l'utiliser ce qui
semblait franchement douteux cela
n'expliquait pas la vitesse à laquelle
il était monté
dans l'obscurité quelque chose atterri
sur mon épaule
surpris je me retournais et vis à main
il avait réussi à redescendre et à me
rejoindre en douce je songeais alors à
la seule solution possible il avait un
jumeau il s'amusait sans doute à
effrayer d'innocents visiteurs je
l'accusé immédiatement
bien monsieur où est votre jumeau je ne
suis pas idiot
il fronça légèrement les sourcils puis
éclata d'un rire sonore
art c'était donc ça j'avais raison il
était démasqué
sa réponse mina toutefois mon assurance
si j'avais un jumeau pensez vous que je
perdrais mon temps ici
il rit à nouveau et se dirigea vers le
garage me laissant sans voix l'audace de
ce type me dépasser
je me dépêchais de le rattraper il entra
dans le garage et commencé à bricoler le
carburateur d'un vieux camion ford vers
vous me prenez vraiment pour un imbécile
à 10 l'air plus agressif que je ne
souhaitais nous sommes tous des
imbéciles
répondit-il mais certains le savent
certains ne le savent pas
vous semblait appartenir à la seconde
catégorie
pouvez vous me passez cette petite pince
je lui passais sa foutue pinces et il
m'a prêté à partir pourtant avant de
m'en aller il fallait que je sache s'il
vous plaît expliquez-moi comment vous
êtes monté vite sur ce toit je suis
vraiment perplexe
il me rendis la pince en dix ans le
monde est une énigme
inutile d'essayer de le comprendre il
m'indiqua l'étagère derrière moi
j'aurai besoin du marteau et du
tournevis maintenant juste là
frustré je l'observais encore un petit
peu en essayant de trouver un moyen de
lui faire dire ce que je souhaitais
avoir mais il paraissait m'avoir oublié
alors que je renonçais me diriger vers
la porte je l'entendis dire ne partez
pas
il ne me priait pas il ne me donnait pas
d'ordre non plus il s'était exprimé
d'une manière neutre
je me tourne vers lui son regard était
doux
pourquoi ne partirai pas
je peut vous être utile
a t'il en retirant le carburateur à la
façon d'un chirurgien opérant une
transplantation cardiaque
il le dépose avec soin et pivota pour me
faire face
voilà il me donna le carburateur
démonter le et mettez les pièces à
tremper cette occupation vous empêchera
de penser à vos questions
ma frustration se changea en rire ce
vieil homme assez agaçant était
tellement intéressant j'ai décidé donc
de me montrer aimable
je m'appelle dan dis-je en lui tendant
la main avec un sourire hypocrite et
vous
il mit un tournevis dans ma main tendue
mon nom n'a aucune importance
le vôtre non plus
l'important se trouve au delà des noms
et des questions
vous aurez besoin de ce tour de vis pour
démonter le carburateur
il n'y a rien au delà des questions
réplique m
et vous volez jusque sur ce toit
à voler j'ai sauté
fut sa réponse
il n'ya là
gic ne vous excitez pas mais pour vous
il me faudra peut être recourir à de la
haute magie je vais devoir transformée
en âne en êtres humains
non mais pour qui vous vous prenez pour
me dire des choses pareilles
je suis un guerrier rétorquait-il
cela mis à part je suis ce que vous
voulez que je sois êtes-vous incapable
de répondre à une question directe
lançait jean me venge en sur le
carburateur posément une et j'essaierai
fit il avec un sourire ingénue
le tournevis glissa et je mets corchet
le doigt merde hurlait gens me dirigeant
vers le lavabo pour laver la coupure
socrates me tendit un pansement
bon d'accord voici une question directe
je m'efforçais d'user d'un ton patients
comment pouvez vous m utiles
je vous ai déjà été utile réplicative
pointant le doigt vers mon bandage
c'en était trop écoutez j'ai assez perdu
de temps ici j'ai besoin de dormir
jeu reposait le carburateur et me
préparer à partir
comment savez vous si vous ne dormez pas
depuis toujours comment savez vous si
vous ne dormez pas en ce moment
demanda-t-il une lueur malicieuse dans
les yeux
si vous le dites j'étais trop fatigué
pour continuer à discuter
une dernière chose quand même avant que
je parte m'expliquerez vous votre
exploit de tout à l'heure
il s'avança vers moi et me prit la main
deux mains d'anne demain
devant son sourire chaleureux tout ma
peur et ma frustration s'évanouir
ma main mon bras puis mon corps tout
entier se mirent à me picotin il ajouta
encore
cela m'a fait plaisir de te revoir
commencent à revoir comment c'est
puis je me repris jeu c'est demain
demain
nous avons tous les et ennery je me
dirigeais vers la porte m'arrêter me
retourner et lui dit en le regardant au
revoir socrates
il paru surpris puis se contenta de
hausser les épaules
le nom lui plus je pense
je partis sans ajouter un mot
le lendemain matin je ne me réveillait
pas pour mon cours de huit heures et je
fus juste prêt pour mon entraînement de
gymnastique de l'après midi
après la course d'obstacles rick ces
idées moi ainsi que d'autres membres de
l'équipe nous nous attendions sur le sol
soufflant et transpirant et tirant les
jambes les épaules et le dos
j'étais est d'ordinaire silencieux lors
de ce rituel mais ce jour là j'ai envie
de leur parler de socrate
je parvins seulement à dire la nuit
dernière j'ai rencontré un type un peu
bizarre dans une station d'essence
mes amis se soucier plus de leurs
douleurs dans les jambes que de mes
petites histoires
après un échauffement avec quelques
appuis faciaux flexion et abdominaux
notre série d'acrobaties comment ça
tout en rebondissant et en m'élançant en
l'air tout en pivotant autour de la
barre fixe et en faisant des ciseaux sur
le cheval d'arçons je m'interrogeais sur
les exploits de l'homme que j'avais
nommé socrates
un peu vexé j'ai été tenté de l'éviter
mais je voulais comprendre à tout prix
ce personnage énigmatique
après le dîner je parcouru rapidement
mes leçons d'histoire et de psychologie